« Je suis un pinseyeur, je ramasse d’abord du bois flotté mais trouve aussi quelques objets inattendus. Débarrassé de ses scories, le plus souvent imputrescible et imprégné d’une odeur subtile de parfum de la mer, le « pinsé » provoque mon imagination. Loin d’être un déchet mort, il peut être porteur de vie… » Vincent Prieur
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